La saison 5 de MasterChef débarque le jeudi 25 juin 2015 à 20h55 sur TF1
Le jeudi 25 juin 2015 à 20h55, TF1 lancera la cinquième saison de son jeu culinaire « MasterChef », désormais animé par Sandrine Quétier et produit par Shine France. La diffusion du programme est désormais estivale.
A l’automne 2013, la saison 4 avait attiré une moyenne de 4,3 millions de téléspectateurs soit 20,4% du public. Un score moyen et en sensible baisse sur un an (-600 000 téléspectateurs et – 1,6 point de part d’audience) qui a provoqué un fort renouvellement de la formule du programme pour sa 5e saison et son absence pendant près de deux ans.
Qui succédera à Anne Alassane (saison 1), Élisabeth Biscarrat (saison 2), Ludovic Dumont (saison 3) et Marc Boissieux (saison 4) ? Réponse à la fin de l’été, après une dizaine d’épisodes.
Pour cette cinquième saison du plus grand concours de cuisiniers amateurs, place à la transmission, au partage et à la convivialité. «MasterChef» propose une recette inédite cette année : un nouveau jury d’exception auprès des candidats, Sandrine Quétier aux commandes de l’émission, une nouvelle mécanique, de nouvelles épreuves, des voyages dans des lieux majestueux et un Atelier flambant neuf. Quand innovation rime avec passion, «MasterChef» évolue et propose aux téléspectateurs un programme aussi novateur que surprenant.
A la clé pour le vainqueur : 100 000 euros, un livre de recettes, une formation au prestigieux Institut Paul Bocuse, mais aussi des stages dans la brigade de chacun des membres du jury !
Une équipe renouvelée
Derrière les fourneaux de MasterChef, trois nouveaux chefs charismatiques, sympathiques, passionnés et incontournables dans l'univers de la cuisine font leur entrée dans l'émission : Yannick Delpech, Christian Etchebest et Gilles Goujon. Animés par une envie commune de partage et de transmission, ils n'hésiteront pas à mettre la main à la pâte pour conseiller et aider les cuisiniers amateurs ! A leurs côtés,Sandrine Quétier prend les commandes de l'émission. Proche des candidats et du jury, chaleureuse, pétillante et gourmande, elle sera en quelque sorte la voix du public en posant toutes les questions que le téléspectateur se pose devant son écran.
Bonne humeur et apprentissage
Grâce à la complicité naturelle qui s'est installée entre le jury et l'animatrice, le concours va prendre une toute autre dimension, plus chaleureuse et humaine. Afin de varier la mécanique de l'émission, de nouveaux exercices apparaîtront et les chefs y joueront un rôle à part entière. Par exemple, les candidats seront amenés à cuisiner coachés par les chefs. Ces derniers devront également réaliser un plat en même temps que les concurrents… Afin de garder l'ADN de l'émission, les épreuves incontournables comme la boîte mystère, les épreuves en extérieur et les tests sous pression sont toujours présentes.
Un nouvel Atelier et des voyages culinaires
L'Atelier fait peau neuve et se modernise ! Coloré, ensoleillé et lumineux, il devient une grande cuisine contemporaine et chaleureuse. Un grand plan de travail et un billot central permettront au jury d'accompagner les candidats lors de démonstrations. Cette année encore,MasterChef va voyager dans des lieux d'exception pour enrichir la culture culinaire des candidats et continuer à surprendre les téléspectateurs. Du golfe du Morbihan à Lyon, en passant par Nice, l'Ariège et la péninsule Ibérique, sans oublier une escapade en Italie, ces voyages seront l'occasion pour les candidats de rencontrer des chefs et des producteurs locaux afin de découvrir toute la richesse de la gastronomie de leur région.
Prolongez le plaisir MasterChef grâce au second écran
Une nouvelle saison avec un dispositif innovant : grâce à une application sur MYTF1, les internautes pourront sublimer leurs photos de créations culinaires en les customisant avec les décors de l'émission. Les photos seront, ensuite, soumises à un jury et les plus belles seront relayées sur MYTF1 et tous les réseaux sociaux de TF1. Cette opération lancera l'ouverture d'un compte Instagram MasterChef. Pour rester connecté, le programme s'invitera sur les tablettes, ordinateurs et téléphones mobiles. En plus des replays, des bonus seront disponibles toutes les semaines sur MYTF1, ainsi que des images inédites des coulisses du tournage. Un live tweet se tiendra durant chaque prime. Le partage, l'apprentissage et la transmission sont les trois missions du programme MasterChef, pour les candidats, mais aussi pour les téléspectateurs avec MYTF1.
Touche féminine du programme, Sandrine Quétier a pour mission de faire le lien entre membres du jury, candidats et téléspectateurs. Et la jeune femme avoue sans rougir avoir un faible pour la cuisine. Une gourmande qui s’assume.
Je suis une fan de cuisine. J’aime manger et cuisiner, à tel point que j’ai sorti un livre de recettes en 2011. L’univers de la cuisine me fascine et c’est également une histoire de famille : ma soeur et mon beau-frère tenaient un hôtel-restaurant ; ce milieu ne m’est donc pas étranger. J’ai également la chance d’avoir une maman très bonne cuisinière ! De mon côté, j’aime faire des expériences. Mes enfants sont, en quelque sorte, mes cobayes !
Cette émission est basée sur la transmission et les valeurs humaines. Certes, il s’agit d’une compétition, mais les chefs sont présents pour accompagner les candidats et pas seulement pour les juger ou les sanctionner. Forcément, il y a des éliminations, mais l’échange, le partage et la transmission sont les maîtres mots.Je considère la cuisine comme un super terrain de jeu dans lequel quasiment tout est possible. Grâce à elle, nous pouvons tenter des expériences et des associations.
Cette émission est un challenge pour moi, car elle complètement différente de mes expériences précédentes. J’espère que la saison fera plaisir aux téléspectateurs, leur donnera envie de cuisiner et de revenir semaine après semaine.
J’ai aimé notre semaine en Espagne et au Portugal, cuisiner dans les arènes de Madrid était génial. Le tournage en plein milieu d’un champ de vaches dans l’Ariège était incroyable également. Nous avions une vue à 360°, avec les montagnes en toile de fond. C’était complètement fantastique d’avoir installé les cuisines de MasterChef dans ce lieu.
Plus jeune chef étoilé de France en 2000, Yannick Delpech, pâtissier de formation, a su gravir les échelons. Sa détermination a payé : en 2011, il obtient une deuxième étoile au guide Michelin. Le copropriétaire et chef de L’ Amphitryon, près de Toulouse, a également ouvert une boutique de pâtisserie haute couture, le Sandyan. Nouveau juré dans «MasterChef», il met son expérience au service des candidats.
Il y avait un formidable esprit d’équipe. Que ce soit avec la production ou les membres du jury, tout s’est idéalement déroulé. Concernant les candidats, j’ai découvert de nombreuses personnalités venant de différents horizons. Cela m’a changé car le milieu de la cuisine est parfois un peu renfermé sur lui-même. S’ouvrir aux autres est également une façon de se rendre compte des attentes de la clientèle. J’ai été marqué par l’engagement de ces candidats passionnés !
La ténacité et la passion du métier sont les qualités pour réussir. Je m’en suis vraiment rendu compte sur le tournage. Notre métier est contraignant, aussi bien physiquement que mentalement. Sans la passion chevillée au corps, il est impossible de tenir bien longtemps… Pour les candidats, il ne faut pas oublier d’évaluer l’ampleur du changement de vie qu’implique le métier de cuisinier. Combiner cette profession avec une vie de famille et des enfants en bas âge n’est pas évident. Les horaires de travail sont différents. J’ai essayé de leur faire passer le message car il faut être prêt pour ce genre de changement.
Je pensais que les candidats, en tant que passionnés, connaîtraient des bases dans la préparation des plats traditionnels et faciles à cuisiner. Nous nous sommes très vite aperçu qu’ils sont au fait de la cuisine actuelle mais ont délaissé les desserts simples de notre enfance. Nous n’avons pas les mêmes codes. J’ai appris, par exemple, à faire le riz au lait avec ma mère à 7 ou 8 ans. Je ne pensais pas qu’une épreuve comme celle-là leur donnerait autant de difficultés !
Chef de trois établissements parisiens, Christian Etchebest est un véritable ambassadeur de la bistronomie. Habitué des tournages à la télévision, il débarque dans «MasterChef» avec, pour objectif, de vivre pleinement cette aventure humaine.
L’ambiance était super sympa ! Chacun a tout de suite trouvé sa place auprès des autres membres du jury et dans l’équipe. Sandrine a apporté sa bonne humeur et nous avons passé sept semaines de bonheur, sans aucune tension. C’est une très belle expérience. J’ai eu l’opportunité de faire d’autres tournages et, pendant MasterChef, j’ai vraiment pris du plaisir. Je suis fier de cette émission. Si l’on me propose une prochaine saison, je rempile de suite !
Même s’ils se qualifient pour l’Atelier ou la finale, les candidats ne sont pas au bout de leur peine, loin de là ! Il faut plusieurs années pour apprendre ce métier mais je pars du principe que la cuisine appartient à tout le monde. Cela passe par de nouvelles formations, des stages… J’ai débuté dans le milieu à 15 ans et ouvert mon premier restaurant à seulement 29 ans. S’ils veulent changer de voie et être à la tête d’un établissement, ils doivent se donner les moyens. Je leur conseille donc, dans un premier temps, de monter un projet autour de la cuisine avant d’ouvrir un restaurant.
Je me suis attaché à tous. Je retiens avant tout la marge de progression de chacun. Les candidats ne travaillent pas de la même façon entre le début et la fin de l’aventure. Tous se sont améliorés. C’est le but de l’émission. Ceux qui auront le plus écouté les conseils des chefs et auront su gérer le stress sont ceux qui auront le plus appris de cette expérience extraordinaire. Les candidats sont des personnes passionnées et la transmission leur a permis de progresser. C’est vraiment une belle aventure humaine !
A la tête de L’Auberge du Vieux Puits depuis plus de vingt ans, Gilles Goujon a connu une ascension digne des plus grands. Sa ténacité et sa rigueur lui ont permis d’entrer dans le cercle très fermé des chefs trois étoiles. Dans «MasterChef», il sera un juré exigeant dans un souci d’apprentissage.
Il y a vingt ans, pas du tout ! Mais depuis quelques années, j’y pensais. Un temps d’adaptation est nécessaire les premiers jours de tournage, mais on oublie vite les caméras ! Avec les autres chefs, nous avons eu la chance d’être guidés par des personnes à l’écoute, notamment Sandrine Quétier. Elle nous a beaucoup aidés, n’hésitant pas à nous remettre sur les rails s’il le fallait. C’est une grande professionnelle. L’exercice MasterChef reste différent de mon métier au quotidien. Je dois maintenir les trois étoiles de mon restaurant et motiver quarante-sept personnes pour tirer le meilleur d’elles mêmes. Le tout, deux fois par jour.
J’ai essayé de me positionner en technicien, afin d’apporter un plus aux candidats. Avec les membres du jury, nous étions dans l’empathie et la gentillesse. D’autres fois, nous n’avons pas hésité à en secouer certains. Cela dépendait des jours et des capacités des candidats. Dans une compétition, il ne faut jamais rien lâcher ! Ceux qui auront été les plus persévérants et les plus à l’écoute progresseront le mieux. Les amateurs comme les professionnels connaissent des baisses de motivation et doivent se remobiliser pour repartir et donner le meilleur d’eux-mêmes.
J’ai vécu une superbe expérience humaine pendant sept semaines. Je le referais sans hésiter ! Nous avons sympathisé entre membres de la production, de l’équipe technique et les jurés. Les tournages à l’étranger nous ont permis de nous rapprocher des candidats. Cuisiner à l’extérieur est plus compliqué car les participants ne disposaient pas des conditions professionnelles et devaient faire avec les moyens du bord. C’était très formateur ! J’ai adoré Lisbonne par exemple, il y avait une belle symbiose entre tous. MasterChef a offert de faire de belles rencontres comme celles avec Yves-Marie Le Bourdonnec, Patrick Roger ou encore la famille Marcon. Des moments rares avec d’autres grands chefs ainsi qu’une grande photographe culinaire, Mathilde de l’Ecotais.
Source : TF1