« La Petite Dorrit », du 27/11 au 18/12/14 à 20h50 sur Arte

Publié le par Benoît

« La Petite Dorrit », du 27/11 au 18/12/14 à 20h50 sur Arte

Arte diffusera du 27/11 au 18/12, chaque jeudi soir à 20h50, de la série britannique : « La petite Dorrit ». Elle est composée de 8 épisodes de 52 minutes, diffusés deux par deux.

« Une fresque sociale pleine de mystère et de romance avec, pour toile de fond, la finance sans foi ni loi de l’Angleterre victorienne. Le scénariste Andrew Davies est l’adaptateur hors pair des grands classiques anglais du XIXe siècle, de Jane Austen à Dickens en passant par George Eliot ou encore Guerre et paix.

Il a su préserver avec La petite Dorrit le caractère foisonnant du roman-fleuve de Charles Dickens et la cohorte de ses ruculents personnages secondaires, grâce au fil rouge d’amour et de mystère qui structure tout le récit et constitue l’une de ses grandes réussites.

Dans les rôles des deux héros, Claire Foy (Le Serment) et Matthew Macfadyen (Orgueils et préjugés, Les piliers de la terre) sont impeccablement émouvants, et chacun des interprètes de La petite Dorrit défend son rôle, si modeste soit-il, avec la même conviction.

Du père Dorrit, figure mitragique, mi-grotesque, au terrifiant Rigaud, du patibulaire Flintwintch à la pauvre Flora, devenue obèse à force d’enfourner de la jelly pour tromper son ennui, le Londres victorien s’anime dans un tableau fourmillant de vie, grâce aussi à la qualité des décors et des costumes.

Une fresque sociale haute en couleur, où malgré l’humour, le noir domine. En choisissant comme toile de fond le monde impitoyable de la finance et son pouvoir sur les existences, Dickens, dont le propre père avait été brièvement détenu à la Maréchaussée, dénonce avec force la société de son temps, pas si éloignée de la nôtre ».

Épisode 1 : « Amy Dorrit, 21 ans, est née et a grandi à la prison pour dettes de Londres, la Maréchaussée. Elle y prend soin de son père, détenu depuis de longues années. Aussi accueille-t-elle avec joie les travaux d’aiguille que lui propose Mrs. Clennam, une vieille et riche infirme qui vit recluse. Peu après, cettedame accueille glacialement son fils, Arthur, revenu au bercail après quinze années passées en Orient, à la suite du décès de son père, qu’il secondait dans le négoce familial. Déterminé à comprendre les dernières paroles de son père, qui lui a demandé « d’arranger les choses », Arthur provoque la fureur de sa mère en la questionnant. La gentillesse dont l’impitoyable Mrs. Clennam fait preuve envers Amy renforce les soupçons de son fils, qui craint que la fortune familiale ne soit bâtie sur une malhonnêteté ».

 

Source : Arte

Publié dans TNT

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