Dépenses de l'État: à quand la fin du gaspillage ?, ce soir à 20h55 sur M6 dans Capital

Publié le par Benoît

Dépenses de l'État: à quand la fin du gaspillage ?, ce soir à 20h55 sur M6 dans Capital

Ce soir à 20h55 sur M6, place au magazine économique « Capital », présenté par François-Xavier Ménage sur le thème : « Dépenses de l'État : à quand la fin du gaspillage ? ».

16 milliards d'euros : c'est la somme que l'État compte économiser sur les dépenses publiques en 2016 pour réduire le déficit. À l'heure où les Français se serrent la ceinture, le haut de la pyramide dans les administrations est-il prêt à en faire autant ? Est-ce la fin des privilèges, voire des abus ?
Voiture de fonction, logement et série de primes : les hauts fonctionnaires sont régulièrement pointés du doigt pour leur train de vie extravagant. Mais depuis quelques années, les annonces de réductions de coûts se multiplient : contrôle des notes de frais, vente du patrimoine immobilier… En passant sous la barre des 100 millions d'euros de budget annuel, l'Élysée montre l'exemple à suivre. Qui sont les bons et les mauvais élèves ? 
Parmi les institutions souvent épinglées par la Cour des comptes, les Assemblées de la République figurent en bonne place. L'Assemblée nationale, le Sénat et le moins connu Conseil économique, social et environnemental. Une instance consultative qui coûte chaque année 38 millions d'euros. Les déclinaisons régionales, quant à elles, représentent un budget de 62 millions d'euros. À quoi servent ces institutions ? Leur budget est-il utilisé à bon escient ? 
Mais le plan d'économies ne se limite pas au sommet de la pyramide. L'État emploie plus de 20% de la population active, soit près de 5,6 millions de salariés. Et parmi eux, plus de 900 000 agents non titulaires. Des profs, des employés des ministères ou des mairies, reconnus « précaires » par le Sénat, qui ne bénéficient absolument pas des avantages liés à leur fonction. Ils travaillent pourtant aux côtés de fonctionnaires protégés par leur statut mais eux n'ont droit à rien ou presque : ni emploi à vie, ni primes, parfois même à aucun contrat de travail…

 

Source : M6

Publié dans M6

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